Vers une sobriété heureuse

Au nom de la modernité, l’homme a accepté une forme d’anéantissement personnel afin de faire tourner la machine économique.

Au lieu de répartir équitablement les ressources communes à l’humanité à long terme, l’économie s’est contentée dans sa croissance illimitée d’élever la prédation au rang de science. Le lien viscéral avec la nature est rompu; cette dernière n’est plus qu’un gisement de ressources à exploiter et à épuiser.

Vers sobriété heureuse est un livre qui place l’homme et la terre au centre de nos préoccupations; je vous en parle plus en détails dans ma dernière vidéo Modernité et modération sur youtube

Vivre et grandir de ses expériences